Comment faut-il juger un aplomb ?
L'aplomb d'un cheval est capital ; l'adage de l'homme de cheval " Pas de pied, pas de cheval " en est la preuve. Les pieds antérieurs et postérieurs doivent former deux lignes symétriques et chaque écart doit être considéré comme douteux. Les pieds doivent être dirigés droit en avant : toutes les déformations vers l'intérieur ou vers l'extérieur influencent les mouvements. Des pieds qui sont tournés en dehors (panard) sont à l'origine du 'frottement' par lequel le cheval peut se blesser d'où la nécessité de lui faire porter des cloches. Il est plus grave que les pieds du cheval soient tournés vers l'intérieur (cagneux de devant ou serrés de derrière). Un tel aplomb exerce une tension sur le boulet. Vu de côté, l'avant de la pince doit être parallèle et former une ligne continue avec l'avant du paturon.